Brasserie de BELLEFOIS Neuville-de-Poitou

Pour se rafraîchir en été et se détendre en hiver, rien de tel qu’une bonne bière! Attention, pas n’importe quelle bière, on parle de bonne bière, de bière artisanale, de bière du terroir, de bière pas soumise aux contraintes de rentabilité, de lois du marché,… en somme, une bière libre !

enseigne-brasserie-neuvilleCe breuvage ancestral (suite…)

Val de Gartempe Le mystère du Nain de Jardin

Depuis quelques semaines le Centre de Cri est sous surveillance. Des nains de jardins ont été retrouvés, bourrés d’électronique, destinée à enregistrer les activités de cet endroit aux multiples facettes. A-t-on de nouveau à faire à une nouvelle invention du directeur Posteur? C’est ce que semble suggérer ce cliché récupéré dans le disque dur d’un Nain jaune hier matin.

Sur cette photo, on observe donc le directeur du centre de cri tenant entre ses mains un objet dont la puissance lumineuse semble démentielle. On y croirait voir le roi détenant et sortant son soleil.

Espionnage et Contre-espionnage

Espionnage et Contre-espionnage

Le directeur aurait-il à présent ce pouvoir ? Celui de faire le jour comme la nuit dans son repaire ? Toujours est-il que nous sommes là sur une piste quant à la future innovation du centre de cri. D’ailleurs, c’est vous dire le danger qu’il y a espionner chez cet individu, dont on dit qu’il toujours accompagné d’une horde d’artistes, pour preuve : un de nos agents spéciaux y a laissé sa tête, pris par surprise dans l’exercice de ses fonctions.

Et comme vous pouvez le voir: l’info n’est pas resté longtemps dans l’ombre:

Déciment, le centre de cri semble avoir plus d’un tour dans la poche pour rénover la façon de crier. Mais nombreux sont les ennemis qui le savent, la technologie, l’innovation, la création est une guerre de tout les jours et de toutes les nuits.

A ne pas mettre sur toutes les fesses

Après vous avoir présenté le célèbre et incontournable tee-shirt centre de cri flanqué de son indispensable logo si cher à nos posteurs, voici en avant première le (sous) short officiel du centre du cri.

Une gamme complète pour les hommes

Une gamme complète pour les hommes

Accompagné de son potache message « Ne pas toucher au cri », il rappelle le côté quasi divin du cri, avec du jaune.

Un esprit sain dans un corps sain

Un esprit sain dans un corps sain

Comme un hymne à la défense du droit de crier, il est idéal pour un roi du cri, facile à porter, et convient parfaitement par temps chaud. D’ailleurs, il supporte très bien l’eau déliriante mais n’aime pas être enlevé par des mains sournoises et assassines!

Un objet donc à ne pas mettre sur toutes les fesses.

Sombres vêtements

Serions-nous des faux, des diables, des doubles, de grands imitateurs. fxd va publier une série d’articles. Il nous propose aujourd’hui le gris qui s’empare du monde à force de s’imiter lui-même et la solution contre le gris, les couleurs!

Au lieu de jeter les yeux sur les pavés usés, il observait l’apparat des gens. Des vêtements aux formes qui se ressemblent mais surtout aux couleurs qui s’imitent. Du blanc, du gris, du noir voire du marron. Et même en période estivale, il était frappé par cette uniformisation de la couleur. Lui qui rêvait d’un monde diapré, voire bariolé. C’était juste un rêve. Du bleu, du vert, du rouge, du orange, du violet et pourquoi pas du jaune! Il faut oser! Oser la différence qui nourrit les yeux, qui attire le regard et offre un peu d’originalité.

Maillot du Cri

Maillot du Cri

Osez ! Osons !

D’ailleurs, voici le tout nouveau produit de la gamme  » cri-à-porter « . Fruit d’un recyclage et oeuvre d’art en mouvement, ce tee-shirt aux célèbres couleurs du poste amorce la création d’une gamme de cri vestimentaire. Ou comment faire crier des vêtements !

Pollution par le bruit

Le vacarme a commencé après les douze coups de minuit. Puis, il a cessé à l’aube. Entre temps, mes tympans ont souffert d’une musique résolument trop forte. Mon voisin, il aime la musique forte surtout quand il a bu, il aime déranger ses oreilles et ses voisins. Quand il fait la fête, il amplifie tout.

Cette nuit-là, je vous répète que le vacarme était continu. Un véritable tonnerre de son. Faute à ce voisin et à sa musique trop forte. Un concert dont je ne percevais que l’omniprésence des basses, qui rebondissaient sur les quatre murs de ma chambre. Une musique devenue abrutissante, gênante pour une personne normale, une musique… Je ne sais même plus si ce que j’ai entendu relève de la musique. Pour preuve, on n’arrivait pas à l’écouter ! Tellement elle semblait dénaturée, saturée, agressive, désagréable. Un tonnerre de son je vous dis. Cette nuit là, il pleuvait des décibels et mes tympans n’arrivaient plus à tout absorber. Mes oreilles sifflèrent puis le calme urbain revînt, à l’aurore.

Le lendemain, je ne savais même plus sur qui porter la responsabilité, sur le fabricant ou bien sur l’utilisateur du produit ? Qui accuser ? Celui qui propose ou celui qui utilise ?

Ah ! Cette liberté exacerbée.

Sur le même sujet: effet Tomatis à la Saint Blaise de Coussay-les-Bois

Un cri pour la vulgarisation des connaissances

Quand j’ai téléchargé pour la première fois ce logiciel, j’étais sceptique et lycéen. Puis en quelques années après et d’innombrables clics sur ma souris adorée, j’ai pu jubiler. Google earth, la nouvelle merveille qu’offre internet.

Nous sommes là

Nous sommes là

Imaginez un logiciel qui virtuellement vous fasse voyager sur presque n’importe quel endroit du globe, imaginez un logiciel qui vous permette de zoomer suffisamment près pour apercevoir les gens dans la rue et l’ombre des nuages sur les prairies. Imaginez que ce logiciel reproduit la 3D. Ce sont certes des images. Mais c’est surtout un formidable outil pédagogique pour développer la fibre géographique de nos chérubins. Suffit de jeter un oeil sur la façon dont la géographie est enseignée aujourd’hui pour avoir peur.

"Se perdre dans une ville demande toute une éducation"

"Se perdre dans une ville demande toute une éducation"

Cadenassée par l’histoire, la géographie est souvent mal enseignée, mal comprise et surtout presque jamais ressentie. Connaître l’endroit dans lequel on évolue, c’est le minimum. Or, de la primaire à la terminale, on noie l’élève dans un flot de connaissances qui partent d’une tentative de connaissance du territoire à l’explication avec acharnement du phénomène de mondialisation. L’élève subit la géographie. On ne l’emmène pas sur le terrain. On le martèle à coup d’abstraction. Les manuels exposent des images, mais peut-on aller n’importe où, peut se balader virtuellement à défaut de pouvoir le faire réellement suite à l’incompétence du professeur ? Peut-on éveiller sa curiosité de cette façon ? Il me semble que l’école républicaine a aussi vocation à favoriser l’autonomie de l’élève…

Ah ! Voilà enfin une utilisation saine et intelligente d’internet : éveiller son désir de découverte et de voyage tout en développant sa soif de géographie.

Des fois, ça fait aussi du bien de pousser un cri de joie !

Dérives hygiénistes

Eau propre et Eau figurée

Eau propre et Eau figurée

C’est un ami à moi. Il n’aime pas que l’on boive dans sa bouteille. Une bouteille d’eau, une eau minérale, presque médicale. J’ai souvent peur de ce genre d’attitudes car elles me poussent à m’interroger sur les raisons de ce refus. Individualisme primitif ou sur-développé? Peur de la maladie venant de l’autre? Egoïsme européen? Mince ! Je ne suis pas encore allé en Afrique mais là-bas si je leur racontai cette anecdote, ils ne rigoleraient pas, les africains. Non, ou alors ils riraient pour ne pas devoir sombrer dans l’incompréhension. Et ils se diraient, quelle confiance règne entre les européens? Et après, ils me diraient que si nous ne nous voulons pas partager entre nous les ressources que l’on monopolise, eux ils sont prêts au partage, ils attendent…

Mais où est passé le pain ?

Étudiant. Claquemuré urbain. Citoyen moderne au coeur de la ville. Citoyen, étudiant, Français mais avant tout Humain. Et comme tout humain normalement constitué, mon alimentation repose avant tout sur des denrées de base : des légumes, de l’eau mais aussi et surtout du pain.

Le pain dur ne passera pas

Le pain dur ne passera pas

(suite…)

La labelisation de l’individu

Premier à répondre, François-Xavier de Toulouse nous adresse un premier texte et cette photo, nous livre au passage une petite réflexion sur la vie cosmétique. Pour vivre heureux vivons labellisés?

Oh label humain!

Oh label humain!

Je crois que c’est la même scène qui se joue dans le même lieu. Supermarché. Choix des produits. Grand désarroi pour le consommateur entre les couleurs des emballages, les prix qui vous appellent et enfin les labels qui informent d’une qualité supplémentaire dudit produit. La folie du label, la folie mercantile. Tellement nous nous sommes éloignés des produits à l’état naturel que nous sommes aujourd’hui obligés d’arborer des labels qui certifient en quelque sorte du niveau de pollution du produit. Plus il y a de labels, moins le produit est pollué et a pollué. Et moi, consommateur, dans tout ça ? Quel est mon niveau de pollution ? En d’autres termes, mon corps est-il sain, suis-je respectueux de l’environnement, ai-je une démarche responsable ? Un individu labellisé, pourquoi pas !

Peut-être qu’un jour nous nous baladerons dans la rue avec des labels sur le front, des habits spécifiques et dans une démarche différenciée; ce sera alors non plus un moyen de distinction sociale comme peut l’être le bon gros 4×4 polluant mais une façon de se démarquer écologiquement… et intelligemment.

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