Au centre de cri, par un temps gris et pluvieux, le réveil est difficile. C’est la gueule de bois ce lendemain d’élection présidentielle, sans surprises. Le pouvoir médiatique a encore sévi, les français ont encore voté comme des veaux pour la collusion UMPS, pour les mêmes ringards d’hier, pour un petit nerveux et un gros mou. A cette occasion, le CRI se rappelle d’une chanson de François Béranger, Magouille Blues, écrite en 1974 pour une autre élection où il y avait les mêmes menteurs. Si vous voulez la version longue et électrique de cette chanson, faîtes le savoir et libérez vous avec le cri !
Centre de Cri – Poste
L’abbé Pierre, notre repère
11-11-2011 Souvenir et Avenir
Les maçons du CRI
Les francs sont faux… Les vrais vont bientôt sortir des presses! Les maçons du CRI affutent les truelles, ça va bétonner! L’échafaudage est déjà installé. Repeint en jaune, couleur « des briseurs de trêve », il annonce la libération prochaine : la Création Résistante et Interactive! L’indignation, c’est trop peu, la résistance, c’est mieux. Le compagnon Sined
Les Déliriades 2011
Le Grand Pressigny libéré! Fini l’escroquerie
Il est sorti du bois! C’est michel Embarek. L’ami des rockers est enfin monté au créneau pour brosser avec force et intelligence dans le journal Libération la mauvaise comédie qui pollue notre contrée depuis trop longtemps maintenant. Nous vous offrons cette lecture avec un goût sublime de soulagement. Si vous avez des doutes sur le bonhomme, regardez la vidéo du JJDA! Ce gars là, peut il raconter des conneries? Et que vive le Rock ‘n roll!
Fini la comédie
Par MICHEL EMBARECK Envoyé spécial au Grand-Pressigny (Indre-et-Loire), Libération, le 13 juin 2011
GRAND ANGLE
Depuis seize ans, les habitants du Grand-Pressigny étaient les acteurs du festival estival de leur village tourangeau. Des notables les en ont dépossédés. Ils se sont rebellés.
Comme au Caire ou à Benghazi, les habitants du Grand-Pressigny, en Indre-et-Loire, ont dit «assez!». Assez d’être dépossédés par une poignée de notables. Assez d’une folie des grandeurs annonciatrice d’impôts à décollage vertical. On pourrait même appeler ça la «révolution des roses», la révolte ayant triomphé début mai, avec la liquidation, dans le bruit et la fureur, d’un événement créé par le peuple villageois, et capté par une toute petite élite locale.
Elections cantonales 2011 Pleumartin
Hier, l’excellent journal localier, la nouvelle République (n’est ce pas JFK), titrait : Pleumartin : petit canton mais candidats nombreux et sous-titrait : pas moins de 8 candidats dans ce canton très incertain dont le résultat sera important pour les équilibres départementaux. Et une accroche terrible sur les portes des lieux de ventes de notre quotidien adoré : 8 candidats près à en découdre.
Erreur! une investigation sur le terrain et non à la préfecture de la capitale, aurait permis d’en découvrir un autre. Sur ce territoire endormi et soi disant conservateur comme le subodore le blog l’électeur poitevin, un îlot de résistance, une association de joyeux festard, à décider de prendre le maquis et faire une campagne à Caractère Résolument Innovateur. La cellule de cri(se) du centre de CRI s’est réunie et à décider, dans une ambiance digne de feu l’équipe d’hara kiri, d’envoyer le directeur du poste défendre les couleurs des jaunes, en tant que briseur de trêves. Briser le consensus mou, réveiller le rêve du pécore et du bon pèlerin en allant recueillir les témoignages des autochtones sur le terrain pour inventer demain. C’est malin, ça!
Merci Simer, les containers de la colère
C’est le nom de 2 blogs, ces nouveaux moyens d’expression de la parole citoyenne. Les porteurs d’avenir d’une démocratie moderne! Ouverts suite à des décisions péremptoires concernant l’enlèvement des ordures ménagères, ils chatouillent désormais la liberté des élus. Une réactivité rapide est en marche désormais qui va progressivement entraver la toute puissance de certains.
L’affaire est simple, comme un reflet de l’état de notre société. Peu de concertation de la part des décideurs sur une question qui touche le quotidien des citoyens. Et comme un goût de démocratie qui font le camp petit à petit de manière douce et inéluctable. Orchestré par des représentants ou élus, peu perspicaces, peu scrupuleux, peu sérieux, imbéciles, intéressés, …Pas tous bien sûr!
Un hameau paumé de notre campagne, Chancelay sur la commune de Pleumartin met le feu aux poudres. Et le moment est propice, les aspirants cantonniers vont battre la campagne pour décrocher la timbale des cantonales. Encore un paquet d’indemnités à la clef! Alors, une réunion publique fut décidée. Il est vrai que Bernard Doury avec un certain courage provoqua une réunion publique le 24 janvier 2011 qui fut houleuse comme toujours quand le peuple se déplace. Le Simer, un syndicat intercommunal, fut mis sur la sellette par les usagers bien sûr et par certains élus oublieux des pleins pouvoirs donnés à cette même structure auparavant. Certains s’en sortirent bien comme bernard Jacob avec son accent bien de chez nous que nous adorons au centre de cri. Et d’autres restèrent sans voix, pourquoi?
Le CRI du Nombril du Monde
Bien heureux sont les curieux de l’INA. Le site, qui regroupe les archives audiovisuelles françaises, peut rapidement se révéler une mine d’information pour qui sait piocher adroitement, et au bon endroit. Il n’y a pas que les discours du Général à se remémorer et bien attentionné est celui qui ira chercher les archives liées à son territoire, sur l’INA.
La démarche est simple : entrer le nom de votre ville, ou votre mot-clé dans l’espace de recherche. Des fois, on fait fausse route, mais quand par hasard la pêche à la ligne virtuelle fonctionne, il se pourrait bien que vous trouviez des petites merveilles.
Les Voeux 2011 de la Minoterie
A l’image de cette heureuse 4L postale entourée de mille soleils, nous vous souhaitons de peindre la vie en jaune et d’installer avec nous le bonheur sur terre. Les illuminés du CRI. Et comme le peintre Van Gogh, harmonisez le jaune avec du bleu, sa complémentaire!
Cette belle photo est offerte par le subtil photographe aérien, Pierre Mairé. Quel cadeau!