Jean-Denis Robert

Jean-Denis Robert n’est pas un fils de… (comme il y en a beaucoup trop depuis quelques décennies dans les milieux artistiques parce que c’est cool et plutôt facile pour certains). Il est photographe, un gars tout simple et plutôt discret. Son cadre d’exposition, actuellement la maison de pays de Saint-Pierre de Maillé. C’est Jacky Bachelier, le président du club de photo «Grand Angles» … sur l’Anglin… qui est content de recevoir son travail sur nos terres reculées.

miki-jean-denis-robert

Nous sommes arrivés avec Miki juste à la fin des discours du vernissage dans une ambiance de «jeunes retraités actifs» et dans une salle comble: quelle réussite en cette fin d’après midi fraiche de fin d’automne. Miki avec son blouson rouge et ses baskets bleues dans cette ambiance semble sortir d’une bande dessinée genre manga. Miki Nitadori est photographe plasticienne en résidence actuellement au lycée professionnel Edouard Branly de Châtellerault, je suis venu la perdre ici… Mais déjà à peine arrivée ses yeux sont partis à la découverte des photographies accrochées aux murs de cet établissement qui à plutôt la vocation de présenter les produits artisanaux du coin. Arrivée devant les photographies de son «collègue», ses yeux s’illuminent et avec son accent si charmant, elle commente ses impressions, écoutez-la, elle vous donnera l’envie de visiter l’univers de ce photographe.

Pas de figures humaines mais des objets qui deviennent portraits, qui nous renvoient à nous-mêmes, à nos histoires d’hommes, à nos riens, à nos rêves, à nos idéaux. C’est simple et c’est beau. Il a fabriqué des assemblages d’objets qu’il a pris en photo après. Il fait des constructions, des combinaisons, de formes, de couleurs, de matières : c’est un sculpteur! D’assemblages assez complexes des débuts, il semble aller vers des épures où deux ou trois objets s’assemblent sans se toucher sur un fond subtilement choisi et complémentaire.

miki-jean-denis-robert2
J’ai bien aimé quand il m’a dit qu’il avait lui aussi vu mes propres assemblages qui ont longtemps traînés sur les festivals de rue et fêtes de plein air. Ce fameux manège sanitaire né à la fin des années 80 et qui m’a tant fait rêver et apporter tant de bonheur aux enfants. Cela me fait penser à l’animateur de ce spectacle de rue, le grand Gilles Ezan, mon maître (clown permanent et roi du boniment). Attention, attention, roulez jeunesse, c’est la guerre des boutons sur les fesses !

(Note de l’Editeur: on appréciera aussi la fameuse Charrette à foin de Jean-Michel Denis)

Miki Nitadori: les arts de soi appliqués à tous

Les grand événements, comme dit Nietzsche, arrivent comme les chats, à pas de velours. Lycée Branly, je ne vais donc pas vous parler de l’incident qui s’est produit un jour à la Cité, vous raconter un fait divers, une histoire d’intoxication sur les jeunes de banlieues.

Je vais vous parler d’une grande idée, le combat de Miki Nitadori. Elle est venue à Châtellerault, accueillie par le prof d’Arts appliqués, et financée par la Région.

Miki Photo

Miki et la Photo

Etrangère, parisienne, japonaise, américaine, elle a fermé l’espace public de sa douce familiarité et, tranquillement, en prenant le temps, commencé son expérience: mener son combat au Lycée Branly, donner des gestes à voir et articuler des vues, faire vivre la classe au rythme de l’attente et de la création. Chaque semaine, elle va à Paris, développe, revient.

Phase de révélation

Phase de révélation

Accueillie par Jean Michel Denis, le prof, dont nous avons eu l’occasion de présenter l’ancienne classe avec son fameux chat d’Orléans,  Miki Nitadori est venue parler de photo, dans la nouvelle salle d’arts appliqués bien équipée d’un vidéo projecteur (merci la Région dit le Prof). Elle est aussi venue parler d’écriture, de résistance et de petits gestes qui sauvent.

Première photos

Premières photos

Alors on y va, la fabrication d’une oeuvre d’art, la photographie de classe, le journal personnel et l’autoportrait, le monde est fait de cette matière. Mais qui fait mon portrait? Qui écrit mon journal? Qui me fige dans l’espace intime du regard des autres, de ces banales photos que Miki aurait trouvées dans une poubelle  de Saint-Michel ou dans la rue Mouffetard, la rue des sorcières?

Un appareil photo c'est commun

Un appareil photo en commun

Pour apprendre à se raconter dans ce qu’il y a de plus commun, une photo de classe, ou une photo pour mes amis de blog, Miki entraîne le groupe au cœur de l’intime et du collectif; étrange combat menée par les élèves du Lycée Branly,  car parler de soi devant une caméra est difficile, on s’expose, il faut franchir un film plastique, celui qui fige l’autre en public.  Mon premier Blog est privé, public? Le monde moderne a besoin de Miki.

Jean-Michel Denis

Jean-Michel Denis

« J’utilise des photos prises dans un espace clos parce qu’on y tire le rideau et l’espace public devient privé, l’être s’y montre plein cadre, effectuant des gestes, des signes qui sont comme des outils qui donnent les moyens de combattre pour la survie quotidienne. Les surfaces noires des portraits évoquent pour moi la vie privée, cet espace intime où réside la force qui nous permet d’affronter l’environnement. »

Les arts de soi appliqués à tous

Les arts de soi appliqués à tous

« Avec Combat, manuel de survie quotidienne, j’ancre mon travail davantage encore dans l’expérience de chacun, au jour le jour, convaincue qu’il peut parfois être utile de s’aider, de s’inspirer, de s’encourager, de se réconforter de quelques gestes judicieux pour résister, aller de l’avant, se construire, se préserver… Et qui peut dire que l’adolescence n’est pas un de ces moments critiques où se construire, partager ce qui soulage et fait sens n’est pas primordial? »

Miki Nitadori

Christian, pianiste!

Intrigué par notre lieu, ce bâtiment industriel relooké et paré d’une fresque colorée : la minoterie. Christian s’est arrêté. L’allure décontractée, un certain âge, la casquette visée sur la tête, il semblait sortir d’une bédé, genre Louis la Guigne. La discussion s’engage et je m’aperçois qu’il a vécu, le gars. C’est le bon client pour une interview Centre de cri. Alors, c’est promis, on passera le voir.

Il habite Ferrière-Larçon, un petit village typique du sud Touraine où il fait bon vivre quand on veut être tranquille. Dans sa maison de la Grande Rue, près de l’église, on entre dans un cadre architectural qui sent bon le médiéval et la présence des templiers qui ont d’ailleurs laissés quelques traces aux alentours. On entre aussi dans l’antre de l’artiste, car ce gars aime la musique, il est pianiste. Un énorme piano trône dans la pièce principale. On comprend de suite que cet instrument lui a fait une belle vie. Et il nous la chante. Écoutez!

Avec humour, Christian nous parle de sa musique, liée étroitement à sa vie, car le gars, il a de la bouteille, il en a vu, bu, il a bourlingué… Chez les soudeurs, il est le meilleur pianiste et chez les pianistes, le meilleur soudeur. Pianeur ou soudiste?

Quand l’art contemporain veut polluer les champs

Le FRACFood Research and Action Center? Fond de recherche et centre d’Action pour lutter contre la faim dans le monde? Non, pas du tout, vous n’y êtes-pas, c’est le Fond Régional d’Art Contemporain qui existe dans le Poitou-Charentes et toutes les régions.

Jean Pierre Duchamp en action

Jean Pierre Duchamp en action

Pour le Frac, la culture ce n’est pas du tout quelque chose qui sert à vivre: la culture, c’est le patrimoine. La science, l’agriculture, les modes de vies alternatifs ou traditionnels, présents, dont on a tant besoin, tout cela ne fait pas parti de la culture. Et le Frac se propose non seulement de présenter la culture sous forme de patrimoine, mais de montrer que c’est la ville qui fait vivre la campagne, et non l’inverse. Ce qui a toujours été au fond, l’entourloupe des colonisateurs.

Article sur le Frac Nouvelle République

Article sur le Frac Nouvelle République

Le Frac a donc décidé d’emmener l’art à la campagne, cette pauvre campagne qui n’a pas de culture, qui n’aurait d’ailleurs rien à proposer dans ce domaine. Seulement des choses utiles, vivantes, qui nous changent des banques et de l’industrie planifiée par la ville quand elle ne gère pas le flux touristique. Dans le but de civiliser la campagne, le Fond Régional d’Art Contemporain a donc ouvert, au carrefour de Linazay, sur la N10 entre Angoulême et Poitiers dans l’ancienne chèvrerie, son espace d’exposition.

Tasse de Thé Coloniale de Mac Carthy

Tasse de Thé Coloniale de Mac Carthy

Exit la chèvrerie. Linazay, une architecture reconfigurée de Jean-Pierre Fauvel (une architecture tout court, ce n’est pas suffisant). L’art contemporain conçue comme un gag, c’est le patrimoine de demain, un ensemble d’œuvres des collections évoque, avec la Colonial Tea Cup de Paul McCarthy, le monde ambigu des attractions et divertissements forains.

aggrandir photo

Manège Sanitaire

Manège Sanitaire

Ce qui a évidemment révolté notre grand artiste vivant, les pieds dans la boue, Jean-Pierre Duchamp, dont l’action populaire, postale, utile, rurale, est ancrée dans le quotidien et les besoins nouveaux de l’humanité, tant sur le plan de l’énergie que de la société. Mais il est évident que pour le FRAC, l’art n’est forain qu’à condition de fabriquer des manèges où les enfants ne peuvent pas monter. Pour Jean-Pierre, un manège doit servir à des enfants.

Il se souvient de son premier manège fort apprécié par le peuple de France et de Navarre, construit avec son ami Gilles Restany, manège qu’il avait d’ailleurs appelé manège Marcel Duchamp (en hommage au dernier bidet de l’histoire de l’humanité, toujours très apprécié des anglais). Entièrement conçu avec des bidets, donc, des lavabos et des baignoires, ce manège avait fait le bonheur des petits et des grands dans tous les villages de France. Pourquoi le Fond Régional d’Art Contemporain n’a-t-il pas mis le manège de Jean-Pierre Duchamps à l’honneur? Pourquoi faut-il aller chercher l’horrible tasse rose de Mac McCarthy, où personne ne peut monter, pour faire semblant de représenter l’ambiguïté du monde forain, qui du coup paraît bien moins ambiguë que le FRAC?

La culture pratique pour tous

La culture pratique pour tous

Mais on comprend cette ambiguïté. La campagne, n’a jamais manqué de culture, elle en est même le berceau, culture reléguée en agriculture sous prétexte d’éduquer les masses boueuses et ignorantes. Il s’agit, en vérité, de coloniser l’imaginaire des gens qui peuplent nos villages. Mais voilà que grâce au mouvement postal, la campagne peut fort bien se passer du Fond Régional d’Art Contemporain. La dernière œuvre de Jean-Pierre Duchamps, la brouette bleue, en est la parfaite illustration.

Jean-Pierre Duchamp: sans ânes pas de culture

Jean-Pierre Duchamp: sans ânes pas de culture

Si la tasse rose est une référence visant à séduire Ségolène Royal, il fallait une couleur de droite, visant à imiter le ciel. La brouette sera bleue. « Car l’art doit savoir être de droite, aime affirmer Jean-Pierre Duchamps, l’art a trop souvent été de gauche, et à force d’être de gauche, il n’arrive plus à se débrouiller. C’est pourquoi je veux faire des objets qui permettent aux gens de se débrouiller. Comme la brouette bleue. Je voulais faire une œuvre pour le foin, parce que maintenant, depuis que la culture est aux mains du FRAC  et l’agriculture aux mains des technocrates et des banquiers, ils ne sont plus capables de nous faire des bottes de paille de moins de 200 kilos ce qui n’est pas pratique à transporter pour les gens comme moi, qui continuent de faire de la culture à la campagne et pas de l’agriculture. C’est comme leur colonial Tea Cup, tout est surdimensionné. Et nous, les petites gens, on aurait besoin de petites bottes de paille, pour transporter facilement et nourrir nos ânes.  Au fond, le gigantisme, c’est utile à peu de gens, ce n’est pas populaire du tout. Et ça n’apporte rien aux ânes.

L'artiste du coup de fourche!

L'artiste du coup de fourche!

Car Jean-Pierre Duchamp ne conçoit pas la culture sans les ânes, pas question de transformer son asinerie en salle d’exposition, et du coup, transporter le foin est pour lui un vrai problème, c’est pourquoi il a conçu cette brouette à foin. On l’a compris, la culture, c’est la vie, la vie de tous les jours, la vie des hommes, des savoirs, des traditions. Le mouvement postal a d’abord été conçu pour permettre à la culture humaine de lutter contre le gigantisme industriel de l’agriculture et des tasses roses. La culture vient des champs, et la ville devrait s’en inspirer.

Quito Equador Rostros de Barro y Plata

Asi se titulaba la exposicion del mes pasado en las Casas de las Artes, en la Ronda, en el centro historico de Quito (capital del Ecuador). Una exposicion que rescata varios rasgos de las diferentes cuturas de este paìs.

La Ronda, calle tradicional de Quito, vincula varias historias. Hacia parte del camino del Inca. Los primeros aristocratas se instalaron en esa calle. Despues la ocuparon los imigrantes internos (gente del campo). Actualmente la Ronda es un lugar de encuentro, ocupado por el arte. La Casa de las Artes presento del 29 de Mayo hasta el 21 Junio, la obra Rostros de Barro y Plata. Las artistas son Sara Palacios y Dora Quintero.

Ciudadana

Ciudadana

Sara Palacios originaria del Cuenca, modela el barro conservando sus colores y texturas, caracteristicas de todos sus trabajos. Para ella el barro no es la « hermana menor de la escultura », a menudo usada como molde para obras en metales. El barro es un material noble y persistente, encontrado atraves de los años. A menudo, los personajes de sus obras son mujeres, como en Rostros de Barro y Plata, pero igualmente en Mujeres-Casas-Casas-Mujeres, esculturas de mujeres con elementos de la architectura en la cabeza. La idea: ¿Como se sienten las mujeres en su hogar? Tambien Sara trabaja en Quitología, un proyecto que consiste en estudiar la ciudad de Quito, atraves de su architectura.
Dora Quintero, originaria de Esmeraldas practica la joyería hace doce años. Después de estudiar cinco años en un Instituto de Mujeres, decidió hacer sus propias joyas. A Dora no le gusta las joyerías comerciales, le gusta las que tienen caracter, que tienen una identidad. Su trabajo consiste en rescatar la parte sagrada y artistica de este arte. También estudió anthropología, el pensamiento Andino y su idioma originaria el Kuichua. Es la autora de unos libros La Venadita ( 2006 ), Los Espiritus del mas alla ( 1998 ).
Sara y Dora se encontraron en Cuba, en un encuentro artístico, con 20 artistas de nacionalidades diferentes, en el objectivo de intercambiar culturas, técnicas .. Con el consejo de la presidente de ese colectivo artístico (Cienfuegos) decidieron juntarse para crear esa obra.

Mujer del Monte

Mujer del Monte

Sara creo mujeres representando diferentes culturas presente en Ecuador. Este pais tiene una gran variedad cultural. El artista represento las que eran mas vinculadas en su memoria infantil.
Encontramos La Mujer del Mira (rio que pasa en la región del Chauta). Una cultura llena de ritmos, cantos, cuentos, juegos….
Descubrimos La Mujer del Monte (de los Andes), cultura ancestral de las alturas, del frío, de los mitos.
Encontramos Amazonico, (Mujer del Amazonia Ecuadoriana) que nos cuenta los vuelos del ayaguasca, bebida tomada en los rituales. Un viaje por a dentro. Lo que expliqua su ojo izquierdo, agujereado, una vista por a dentro.
También encontramos La Mulata, una mezcla de cultura Indígena y Negra, en lo caso de esa escultura, pero tambien de origines colonial y de aqui …

La mulata y la amazonica

La mulata y la amazonica

Y las Ciudadanas que representan las influencias de las culturas de afuera, que poco a poco forman una nueva forma de ser, de vestirse …

Esas esculturas por sus rasgos, sus posiciones, sus miradas que nos siguen tienen una identidad, un caracter, una personalidad propia a cada una. Sara escribió encima de las paredes blancas de la Casa de las Artes:  » ¿Qué dice el cuerpo que está detrás del ornamento? » Tenia miedo que las joyas occulten las mujeres, por que la humanidad es acostumbrada a esconderse atrás de ornamentos. ¿La gente hiba a entender que esas joyas eran lejos de ser simples adornos?

Ciertas alfabreria conservan los rasgos culturales, más aùn las de Dora Quintero.

Le gustaria que viendo sus obras, la gente se de cuenta que partenecen a la cultura Ecuadoriana, o por lo manos a America Latina.

Femme d'Amazonie avec le Spontylus

Femme d'Amazonie avec le Spontylus

Dora trabaja con muchos símbolos, unos de los materiales que usa más es el Spondylus, que ocupa un papel importante en la historia de la cultura Ecuadoriana. El Spondylus es una concha de colores caliente. Se encuentra, solamente, en la costa de Ecuador y al norte de Perú. Los Indígenas que observaban el tiempo, se dieron cuenta que antes que lloviera podían encontrar Spondylus en las playas. Asi supieron cuando podian sembrar. Lo relacionaron con la fertilidad. Más tarde lo trocaron, lo hacían por piedras preciosas, como las Esmeraldas. Los hombres, los más importantes, se llevaban grandes Spondylus hasta su tumba. Desde hace 2 mil años, los Peruanos se llevan el Spondylus y se los desvuelven, al Ecuador, tallado en flores o otras formas. Esa concha hizo que los pueblos de la costa Ecuadoriana pudieron desarollarse, por su comercio y su caracter especial. Ahora esta en peligro de extincion, porque no hay realmente protección ambiantal.

El metal que Dora usa más es la plata, que en la cultura Andina representa la luna y la feminidad.

Como símbolo importante encontramos El Jaguar, que simbolisa la rencarnación del Sol.

L'ofrenda ritual

L'ofrenda ritual

La pieza Ofrenda Ritual detiene la representación de diferentes elementos importantes en la cultura ancestral, presentes en todos los rituales : la oja de Coca, la Valdivia y el Spondylus.

Hablamos del Hombre Americano 1. Diferentes personas Europeas, influenciadas por la religion católica (que se impusó a todo America Latina), creyeron que ese símbolo era una cruz y que el Hombre Americano estaba crucificado o encerrado. ¡Nada que ver! Ese símbolo es una Chacana, es una estrella, el hombre ni está crucificado, ni encerrado, sensillamente, está adornado. La Chacana representa sus pensamientos hasia el cosmos.

Ciudadana

Ciudadana

Los aretes Colonial representan una nueva época, con nuevas modas, nuevos dibujos, que no existian antes la llegada de los colones. Obiamente también, nuevas mujeres, que hicieron perder su « poder » a las mujeres Indígenas.

El trabajo de Dora no es solamente, en esa busqueda simbolica, es igualmente un trabajo artístico. Esta actualmente trabajando nuevas tecnicas, como la busqueda de la luz en la alfebreria. Por ejemplo en la pieza Buscando la Luz, donde inserta topazios en el coral negro.

Buscando a luz

Buscando a luz

Esas dos artistas supieron hacer fusionar dos artes muy diferentes. Los materiales utilizados se volvieron nobles. Esa obra deja bellos mensajes.

Muchas personas olvidan sus origines, hasta darles verguenza. La cultura de cada uno debe poder expresarse, estar reconocida por su propia « belleza ». Las culturas no pueden camuflarse atrás del modelo occidental. La cultura es también la historia. ¿Cuánta gente, cuántos jovenes no conocen la historia de sus origines? ¿ Cuántos ni se interesan? ¿Qué hace la educación? ¿Por qué en Ecuador, la segunda lengua oficial no es el Kuichua? ¿Por que no enseñan a los niños, lo que es el Spondylus por ejemplo? ¿Por qué en Europa, en las escuelas no enseñan, a los alumnos, TODOS, los impactos que tienen los paises del « primer mundo » sobre Sudamerica?

Dora tiene una contestación, la suya es: « la escuela representa lo que es un país. Somos colonias del Occidente. Lo que les interesa es el café, el cacao, el petroleo … « 

Gracias a los artisatas y a los demás que hacen acordarse a la gente de sus orígines, que les hace acordar que no hay que tener verguenza!

Quito Equateur Visages de Terre et d’Argent

Ainsi s’intitulait la dernière exposition, dans la Maison des Arts, à la Ronda (centre historique), à Quito (capital d’Équateur). Une exposition qui récupère certains traits des différentes cultures de ce pays. Elsa Gire poursuit son voyage en Amérique latine et nous parle des artistes Sara Palacios et Dora Quintero.

Article en espagnol

La Ronda, rue traditionnelle de Quito, abrite de nombreuses histoires. Elle faisait partie du chemin de l’Inca. Les premiers aristocrates s’y installèrent. Puis les immigrants internes (ruraux) l’occupèrent. Actuellement, elle est un lieu de rencontres, occupé par l’art.

Femme citadine

Femme citadine

La Maison des Arts présentait du 19 Mai au 21 Juin l’oeuvre Rostros de Barro y Plata, dont les artistes sont Sara Palacios et Dora Quintero.
(suite…)

Banda de Smarves au bord de la Vienne

Ceux qui regarderont cette vidéo attentivement verrons passer un Objet Roulant Non Identifié de couleur jaune. Attention, cet objet repassera à une heure et un jour non encore déterminé dans plusieurs endroit du Grand Pressigny à Châtellerault ou il a été aperçu plusieurs fois.

Le patron m’a dit de les avoir à l’oeil, les gars étaient chauds, ils ont fait du Tintouin sur le bord de la Vienne. A un moment, ils se sont posés au bout du Quai des Martyrs de la Résistance pour souffler un peu. C’était juste rigolo. Quand tu vois passer la voiture du Cri, fait un grand sourire.

Pour leur parler au téléphone, c’est 05 49 01 97 17

Le lion est mort ce soir

Paroles et musiques

Dans la jungle, terrible jungle
Le lion est mort ce soir
Et les hommes tranquilles s’endorment
Le lion est mort ce soir

Tout est sage dans le village
Le lion est mort ce soir
Plus de rage, plus de carnage
Le lion est mort ce soir

L’indomptable, le redoutable
Le lion est mort ce soir
Viens ma belle, viens ma gazelle
Le lion est mort ce soir

Révélation au Centre de Cri

Bilan positif à la Minoterie pour l’association Marquetapage. Toute la lessive fabriquée par les sorcières, la menthe à l’eau couleur de miel et les ouvrages de la T’ite Tambouille également faits à la main, tout est parti, il faudra rééditer. La voiture, c’est une belle invention, mais croire que l’autoroute est un progrès sous prétexte qu’on a inventé la roue, c’est un grand pas en arrière. Il faudra donc inventer des stages de remise à niveau des grand-mères; le génie humain a toujours bricolé avec les vieilles astuces. La machine à laver libère le corps des femmes comme la main à libéré la bouche de l’obligation de brouter. Il faut libérer la lessive du pétrole, maintenant, lire l’ouvrage de Delphine et Lisa.

A la Minoterie, le directeur du Centre de Cri a voulu essayer son amphithéâtre en plein air. Le moins qu’on puisse dire est que le son monte et qu’il est bon, ce qui est la moindre des choses dans un moulin. Lieu d’invention, de créativité et de découverte on veut vous faire partager notre révélation de cette édition 2009 en France, le jeune guitariste de Nono Solo surnommé El Mexicano, qui a clairement enchanté la foule présente. Notons un incident toutefois, suite à un confusion dans le service de communication interne de La Poste, les emballages du nouveau concept Crissimo dont nous reparlerons on envahi la Minoterie une heure avant le concert.

Gamberge a également fêté le Cri ad Libitum en première partie du concert de la Minoterie. Avec un batteur et un saxo venu se joindre au groupe pour l’occasion.

Notons qu’une plaque a été déposée ce week-end au stade municipal de Lésigny-sur-Creuse. Le stade a désormais un nom et le l’Etoile Sportive de Lésigny a pu s’en réjouir en célébrant l’événement jusque tard, salle des fêtes. Cette plaque, attirant des sommités politiques du canton, du département et de la région, a certainement été posée dans le but de symboliser le départ d’un grand projet de rénovation culturelle des trois pays. Nous n’avons pas d’information pour l’instant mais nous ne manquerons pas d’avertir nos lecteurs dès qu’un citoyen plus ample informé se manifestera.

Guy Debord

Scanner, d’après l’œuvre de Guy Debord, auteur de la Société du spectacle, est une pièce que David Ayala réalise, fait tourner et perfectionne depuis plus de quatre ans. Il est aujourd’hui au Théâtre de l’Union à Limoges. L’an prochain, il tournera, dans tous les sens du terme, à Montpellier, Toulouse, nous l’espérons ailleurs, y compris sur le Net. Voici un extrait de ce spectacle sur le spectacle, à voir à tout prix. Nous en publierons d’autres.

Depuis que l’art est mort, on sait qu’il est devenu extrêmement facile de déguiser des policiers en artistes. Quand les dernières imitations d’un néo-dadaïsme retourné sont autorisées à pontifier glorieusement dans le médiatique, et donc aussi bien à modifier un peu le décor des palais officiels, comme les fous du roi de la pacotille, on voit que d’un même mouvement une couverture culturelle se trouve garantie à tous les agents ou supplétifs des réseaux d’influence de l’Etat.

(suite…)

1 2