Papillotes et capsules (un papillon dans un bocal épisode 2)

Deuxième épisode du palpitant polar de Pascal Dazin, Un Papillon dans un bocal, à suivre jusqu’au 11 novembre. C’est du côté de Belle Ile que nous entraîne cette fois l’aventure du Commissaire Dufilet.

Dès le soir, une cellule de crise se réunissait au commissariat. Un homme s’était suicidé, mais nulle trace du corps. Pourtant, tomber de plus de douze mètres sur le béton, cela ne pardonne pas. Qui était-il, d’ailleurs, ce Farfalle ? Un trafiquant, un sans papier, un agresseur d’enfants?

Molfort était reparti sur les lieux du drame, à la recherche d’indices. Quant au commissaire, après avoir essuyé les remontrances du procureur pour avoir laissé un homme sauter par la fenêtre, il avait enrôlé trois inspecteurs et donné ses consignes. Mais il avait l’esprit singulièrement troublé, comme jamais dans son passé de professionnel jusque là toujours bien noté. Un homme a un comportement suspect. Il se tue devant lui, mais pas de corps. Et de plus, s’il est maintenant certain, ne serait-ce qu’au regard de cette étrange disparition post-mortem, que l’individu a pas mal de choses à se reprocher, on ne sait pas du tout lesquelles.

Belle Ile

Belle Ile

(suite…)

P’tit Pêt Show au Petit Pressigny

Source: Nouvelle République

Sur le stade du Petit-Pressigny, toute une déclinaison de produits bio et locaux s’étalent sur le marché artisanal. Bijoux, sacs en papier recyclé, cosmétique… Sans oublier toute une gamme de produits destinés à émoustiller les papilles: boissons au miel, cafés torréfiés sur place, ou encore la maca, breuvage venu tout droit du Pérou pour aider au bien-être. Un peu plus loin, au stand épicerie, on peut dénicher toutes sortes de pâtes à tartiner. Et pour être gourmet écolo jusqu’au bout des ongles, on peut également apprendre à bâtir des fours solaires.

(suite…)

Question pour une région. C’est gagné, c’est Royal!

Elles ont eu un sourire gentil aux lèvres, les filles de l’asso Marquetapage, quand je leur ai dit que j’avais rencontré Madame Marisol Touraine, députée du Sud Touraine et Vice-présidente de la région Centre, lors d’une visite courtoise à Chaumussay où je me trouvais aussi pour faire la prospection de la sortie de La T’ite tambouille de l’éco-logis. Soit, je n’ai pu lui offrir le livre, à elle! Nous ne l’avions pas encore cousu! Je lui ai donné un flyer annonçant l’évènement du 20 juin. Elle m’a dit qu’elle viendrait peut-être. Je pensai: un flyer s’envole, et puis c’est pas assez chic, pas officiel comme annonce pour une dame d’influence comme elle. Je me dois de lui envoyer une invitation. Mais au fait pourquoi l’inviter? Eh bien parce-que le siège de l’association Marquetapage, éditeur du livre est à La celle-Guenand, en Indre et Loire donc, il est de bon ton de soutenir les associations en venant aux manifestations, non pas pour se montrer mais pour être aux côtés de ceux qui ont voté pour un programme d’action culturelle et tout et tout. Rien que ça!

Eh bien Lisa, me disent-elles, avec le même sourire aux lèvres : « il ne te manque qu’à rencontrer Ségolène maintenant! »

Qu’à cela ne tienne!

Jean-Michel Denis, Président de La Compagnie Glob Trott et propriétaire de La Minoterie à Lésigny, (dans la Vienne donc), site d’accueil de notre association pour cet évènement, a envoyé une invitation aux acteurs (à ne pas confondre avec les comédiens!) de Sa région, à Madame Ségolène Royal…

Bon d’accord, elles ne sont venues ni l’une ni l’autre! Un 20 juin, veille du 21, lendemain du 19 où partout, il se passe toujours quelque chose, ou le climat, ou la conjoncture, ou?

Jusqu’au jour où…

Presque sitôt dit, presque sitôt fait, mesdames.

Jean-Michel et Véro étaient heureux de lui exposer de vive voix leur projet de reconnaissance du site en centre culturel. Un lieu où les associations comme celle que je représente sont reçues pour y travailler, pour élaborer des créations allant dans le sens du besoin de chacun, pour les autres. Un lieu où les gens peuvent venir pour s’y retrouver, découvrir ou revisiter des sensations dont la convivialité est le chef d’orchestre. Un lieu où les enfants peuvent s’épanouir à l’expression de leur créativité. Moi, j’étais satisfaite de lui offrir le livre de recettes écologiques de produits ménagers, que j’ai écrit avec Delphine Moreau Delattre et qui est illustré par Ananda Safo, ainsi qu’ 1/2 litre de lessive artisanale (une des recettes du livre) au savon de Marseille fabriquée à La Minoterie. Satisfaite aussi de lui expliquer comment la faire soi-même avec des ingrédients de choix, ne polluant pas notre santé ni notre environnement et plein d’autres petites astuces pour remplacer les produits classiques polluants.

Elle semblait satisfaite aussi.

– « Bon et bien! On va regarder les projets et puis on va vous accompagner » a t-elle conclu en s’adressant à Jean-Michel et Véro et s’en aller prendre quelques dernières photos, il en faut tout de même.

Les portes de La Minoterie à Lésigny sont toujours ouvertes pour tous, vous pouvez y venir. Marisol aussi bien sur! Il reste des livres et de la lessive! Des spectacles pour enfants à découvrir, des ateliers de papiers mâchés etc.

Val de Gartempe Le mystère du Nain de Jardin

Depuis quelques semaines le Centre de Cri est sous surveillance. Des nains de jardins ont été retrouvés, bourrés d’électronique, destinée à enregistrer les activités de cet endroit aux multiples facettes. A-t-on de nouveau à faire à une nouvelle invention du directeur Posteur? C’est ce que semble suggérer ce cliché récupéré dans le disque dur d’un Nain jaune hier matin.

Sur cette photo, on observe donc le directeur du centre de cri tenant entre ses mains un objet dont la puissance lumineuse semble démentielle. On y croirait voir le roi détenant et sortant son soleil.

Espionnage et Contre-espionnage

Espionnage et Contre-espionnage

Le directeur aurait-il à présent ce pouvoir ? Celui de faire le jour comme la nuit dans son repaire ? Toujours est-il que nous sommes là sur une piste quant à la future innovation du centre de cri. D’ailleurs, c’est vous dire le danger qu’il y a espionner chez cet individu, dont on dit qu’il toujours accompagné d’une horde d’artistes, pour preuve : un de nos agents spéciaux y a laissé sa tête, pris par surprise dans l’exercice de ses fonctions.

Et comme vous pouvez le voir: l’info n’est pas resté longtemps dans l’ombre:

Déciment, le centre de cri semble avoir plus d’un tour dans la poche pour rénover la façon de crier. Mais nombreux sont les ennemis qui le savent, la technologie, l’innovation, la création est une guerre de tout les jours et de toutes les nuits.

Un papillon dans un bocal – La métamorphose (1)

Pascal Dazin nous propose un petit polar en 17 chapitres, qui paraîtront tous les mercredi à 8 heures. Il se passe des choses étranges sur Belle Ile, le commissaire Robin Dufilet va se trouver confronté à une série de phénomènes inexplicables et flirter avec la folie. Jusqu’au bout, on ignore s’il trouvera le moyen de tenir le choc.

La métamorphose de Grégoire Samsa

La métamorphose de Grégoire Samsa

L’ homme venait de se lever quand on frappa à la porte. Cinq coups secs retentirent, alors qu’il aurait suffi d’actionner la sonnette, qui faisait entendre un son long et doux de corne de brume au soleil levant.

-Qui est là? S’enquit le locataire des lieux en enfilant avec volupté une chemise bariolée en soie.

-Police nationale. Ouvrez!

Un peu surpris, vaguement inquiet, l’homme ouvrit d’une main, terminant son boutonnage de l’autre.

-Que puis-je pour votre service?

-Commissaire Dufilet. Et voici mon adjoint le sergent Molfort. Nous avons reçu plusieurs plaintes à votre sujet de la part du voisinage.

-Des plaintes? Les voisins? Mais je ne suis presque jamais là, et je ne connais encore personne. Je ne sais même pas si les appartements attenants sont habités!

-Précisément, Monsieur… Monsieur?

-Farfalle. Antonio Farfalle.

(suite…)

Inauguration du Centre Culturel à La Minoterie de Lésigny

Tous réunis devant la Mairie, on attendait la madone. Je discutais avec Jérôme Pernoo et José Marie Monnot organisateurs du festival des « Vacances de Monsieur Haydn » quand j’ai entendu « la voilà« . Ségolène Royal n’est pas en vacances. Entre une inauguration ici et une remise de prix là-bas, elle avait une heure devant elle, un petit verre de champagne à boire dans la bibliothèque de Lésigny, une médaille de région à offrir. On cherchait une commune avec un maire socialiste sur la route, Monsieur Tremblais à Lésigny-sur-Creuse, c’est très bien. Eh bien, pour parler franc, c’est mieux comme ça. Autrement, des gens de cette qualité, on ne voit que la coiffure qui dépasse du tas de journalistes, alors que là, on peut cadrer tranquille, on a tout le temps, on peut même toucher la dame, elle est réelle. C’est une autre ambiance. D’ailleurs, dans la bibliothèque, un ordinateur, ce qui permet d’accéder au plus vaste projet encyclopédique de tous les temps, Wikipédia: tout un monde à Lésigny! C’est l’occasion ou jamais de montrer que chez nous, ça bouge. Et si cela ne bouge pas, on voudrait bien que ça bouge.

Un mois auparavant, le 21 juin, Jean Michel Denis avait invité Madame Royal à venir visiter la Minoterie, lui faire découvrir son univers, lui parler de ses projets. C’était à l’occasion de la sortie du livre original, « La T’ite Tambouille de l’éco-logis » écrit par Delphine Moreau Delattre et Lisa Glenn et édité par les éditions « Marquetapage » sise à La Celle-Guenand.
Mais elle n’est pas venue.
Les seuls notables présents ce jour-là à Lésigny s’étaient déplacés pour la pose d’une plaque commémorative au stade heureusement libéré par les manouches quelques jours plus tôt.

Inauguration du Centre culturel

Inauguration du Centre culturel

Et ouf, Ségolène Royal est venue visiter La Minoterie: un lieu aux multi facettes: artistiques, créatives et humaines. Elle a rencontré les heureux propriétaires et investigateurs du site: Jean-Michel et Véro auteurs de La Compagnie Glob Trott, « The » Compagnie de spectacles pour enfants de la Région par excellence. Elle a pu voir et comprendre qu’il était possible de favoriser le projet de ce nouveau Centre Culturel. Elle n’aura pas eu le temps d’aller jusqu’à la prairie, où vivent des animaux et des esprits,(dommage pour eux!) et qui attire chaque fois le regard curieux des passants traversant le village en direction de la Roche Posay. Jean-Mi lui a présenté le concept des performances du Centre de Cri, La fausse Poste, Centre de Cri, qui est en réalité un lieu d’expérimentation aux confluents du spectacle de rue et de la communication internet. Se serait-elle prêtée à jouer aux jeux fabriqués par Jean-Mi pour tous les enfants d’ici, de là et d’ailleurs? minoterie-plage Tout de même!
Cette « entreprise » culturelle qui jusque-là n’avait demandé d’aide à aucune collectivité a été inaugurée ce jour de Juillet, au bon gré d’un planning chargé par La Conseillère Régionale Ségolène. Un jour de chance! A suivre.

A ne pas mettre sur toutes les fesses

Après vous avoir présenté le célèbre et incontournable tee-shirt centre de cri flanqué de son indispensable logo si cher à nos posteurs, voici en avant première le (sous) short officiel du centre du cri.

Une gamme complète pour les hommes

Une gamme complète pour les hommes

Accompagné de son potache message « Ne pas toucher au cri », il rappelle le côté quasi divin du cri, avec du jaune.

Un esprit sain dans un corps sain

Un esprit sain dans un corps sain

Comme un hymne à la défense du droit de crier, il est idéal pour un roi du cri, facile à porter, et convient parfaitement par temps chaud. D’ailleurs, il supporte très bien l’eau déliriante mais n’aime pas être enlevé par des mains sournoises et assassines!

Un objet donc à ne pas mettre sur toutes les fesses.

Sombres vêtements

Serions-nous des faux, des diables, des doubles, de grands imitateurs. fxd va publier une série d’articles. Il nous propose aujourd’hui le gris qui s’empare du monde à force de s’imiter lui-même et la solution contre le gris, les couleurs!

Au lieu de jeter les yeux sur les pavés usés, il observait l’apparat des gens. Des vêtements aux formes qui se ressemblent mais surtout aux couleurs qui s’imitent. Du blanc, du gris, du noir voire du marron. Et même en période estivale, il était frappé par cette uniformisation de la couleur. Lui qui rêvait d’un monde diapré, voire bariolé. C’était juste un rêve. Du bleu, du vert, du rouge, du orange, du violet et pourquoi pas du jaune! Il faut oser! Oser la différence qui nourrit les yeux, qui attire le regard et offre un peu d’originalité.

Maillot du Cri

Maillot du Cri

Osez ! Osons !

D’ailleurs, voici le tout nouveau produit de la gamme  » cri-à-porter « . Fruit d’un recyclage et oeuvre d’art en mouvement, ce tee-shirt aux célèbres couleurs du poste amorce la création d’une gamme de cri vestimentaire. Ou comment faire crier des vêtements !

Quito Equador Rostros de Barro y Plata

Asi se titulaba la exposicion del mes pasado en las Casas de las Artes, en la Ronda, en el centro historico de Quito (capital del Ecuador). Una exposicion que rescata varios rasgos de las diferentes cuturas de este paìs.

La Ronda, calle tradicional de Quito, vincula varias historias. Hacia parte del camino del Inca. Los primeros aristocratas se instalaron en esa calle. Despues la ocuparon los imigrantes internos (gente del campo). Actualmente la Ronda es un lugar de encuentro, ocupado por el arte. La Casa de las Artes presento del 29 de Mayo hasta el 21 Junio, la obra Rostros de Barro y Plata. Las artistas son Sara Palacios y Dora Quintero.

Ciudadana

Ciudadana

Sara Palacios originaria del Cuenca, modela el barro conservando sus colores y texturas, caracteristicas de todos sus trabajos. Para ella el barro no es la « hermana menor de la escultura », a menudo usada como molde para obras en metales. El barro es un material noble y persistente, encontrado atraves de los años. A menudo, los personajes de sus obras son mujeres, como en Rostros de Barro y Plata, pero igualmente en Mujeres-Casas-Casas-Mujeres, esculturas de mujeres con elementos de la architectura en la cabeza. La idea: ¿Como se sienten las mujeres en su hogar? Tambien Sara trabaja en Quitología, un proyecto que consiste en estudiar la ciudad de Quito, atraves de su architectura.
Dora Quintero, originaria de Esmeraldas practica la joyería hace doce años. Después de estudiar cinco años en un Instituto de Mujeres, decidió hacer sus propias joyas. A Dora no le gusta las joyerías comerciales, le gusta las que tienen caracter, que tienen una identidad. Su trabajo consiste en rescatar la parte sagrada y artistica de este arte. También estudió anthropología, el pensamiento Andino y su idioma originaria el Kuichua. Es la autora de unos libros La Venadita ( 2006 ), Los Espiritus del mas alla ( 1998 ).
Sara y Dora se encontraron en Cuba, en un encuentro artístico, con 20 artistas de nacionalidades diferentes, en el objectivo de intercambiar culturas, técnicas .. Con el consejo de la presidente de ese colectivo artístico (Cienfuegos) decidieron juntarse para crear esa obra.

Mujer del Monte

Mujer del Monte

Sara creo mujeres representando diferentes culturas presente en Ecuador. Este pais tiene una gran variedad cultural. El artista represento las que eran mas vinculadas en su memoria infantil.
Encontramos La Mujer del Mira (rio que pasa en la región del Chauta). Una cultura llena de ritmos, cantos, cuentos, juegos….
Descubrimos La Mujer del Monte (de los Andes), cultura ancestral de las alturas, del frío, de los mitos.
Encontramos Amazonico, (Mujer del Amazonia Ecuadoriana) que nos cuenta los vuelos del ayaguasca, bebida tomada en los rituales. Un viaje por a dentro. Lo que expliqua su ojo izquierdo, agujereado, una vista por a dentro.
También encontramos La Mulata, una mezcla de cultura Indígena y Negra, en lo caso de esa escultura, pero tambien de origines colonial y de aqui …

La mulata y la amazonica

La mulata y la amazonica

Y las Ciudadanas que representan las influencias de las culturas de afuera, que poco a poco forman una nueva forma de ser, de vestirse …

Esas esculturas por sus rasgos, sus posiciones, sus miradas que nos siguen tienen una identidad, un caracter, una personalidad propia a cada una. Sara escribió encima de las paredes blancas de la Casa de las Artes:  » ¿Qué dice el cuerpo que está detrás del ornamento? » Tenia miedo que las joyas occulten las mujeres, por que la humanidad es acostumbrada a esconderse atrás de ornamentos. ¿La gente hiba a entender que esas joyas eran lejos de ser simples adornos?

Ciertas alfabreria conservan los rasgos culturales, más aùn las de Dora Quintero.

Le gustaria que viendo sus obras, la gente se de cuenta que partenecen a la cultura Ecuadoriana, o por lo manos a America Latina.

Femme d'Amazonie avec le Spontylus

Femme d'Amazonie avec le Spontylus

Dora trabaja con muchos símbolos, unos de los materiales que usa más es el Spondylus, que ocupa un papel importante en la historia de la cultura Ecuadoriana. El Spondylus es una concha de colores caliente. Se encuentra, solamente, en la costa de Ecuador y al norte de Perú. Los Indígenas que observaban el tiempo, se dieron cuenta que antes que lloviera podían encontrar Spondylus en las playas. Asi supieron cuando podian sembrar. Lo relacionaron con la fertilidad. Más tarde lo trocaron, lo hacían por piedras preciosas, como las Esmeraldas. Los hombres, los más importantes, se llevaban grandes Spondylus hasta su tumba. Desde hace 2 mil años, los Peruanos se llevan el Spondylus y se los desvuelven, al Ecuador, tallado en flores o otras formas. Esa concha hizo que los pueblos de la costa Ecuadoriana pudieron desarollarse, por su comercio y su caracter especial. Ahora esta en peligro de extincion, porque no hay realmente protección ambiantal.

El metal que Dora usa más es la plata, que en la cultura Andina representa la luna y la feminidad.

Como símbolo importante encontramos El Jaguar, que simbolisa la rencarnación del Sol.

L'ofrenda ritual

L'ofrenda ritual

La pieza Ofrenda Ritual detiene la representación de diferentes elementos importantes en la cultura ancestral, presentes en todos los rituales : la oja de Coca, la Valdivia y el Spondylus.

Hablamos del Hombre Americano 1. Diferentes personas Europeas, influenciadas por la religion católica (que se impusó a todo America Latina), creyeron que ese símbolo era una cruz y que el Hombre Americano estaba crucificado o encerrado. ¡Nada que ver! Ese símbolo es una Chacana, es una estrella, el hombre ni está crucificado, ni encerrado, sensillamente, está adornado. La Chacana representa sus pensamientos hasia el cosmos.

Ciudadana

Ciudadana

Los aretes Colonial representan una nueva época, con nuevas modas, nuevos dibujos, que no existian antes la llegada de los colones. Obiamente también, nuevas mujeres, que hicieron perder su « poder » a las mujeres Indígenas.

El trabajo de Dora no es solamente, en esa busqueda simbolica, es igualmente un trabajo artístico. Esta actualmente trabajando nuevas tecnicas, como la busqueda de la luz en la alfebreria. Por ejemplo en la pieza Buscando la Luz, donde inserta topazios en el coral negro.

Buscando a luz

Buscando a luz

Esas dos artistas supieron hacer fusionar dos artes muy diferentes. Los materiales utilizados se volvieron nobles. Esa obra deja bellos mensajes.

Muchas personas olvidan sus origines, hasta darles verguenza. La cultura de cada uno debe poder expresarse, estar reconocida por su propia « belleza ». Las culturas no pueden camuflarse atrás del modelo occidental. La cultura es también la historia. ¿Cuánta gente, cuántos jovenes no conocen la historia de sus origines? ¿ Cuántos ni se interesan? ¿Qué hace la educación? ¿Por qué en Ecuador, la segunda lengua oficial no es el Kuichua? ¿Por que no enseñan a los niños, lo que es el Spondylus por ejemplo? ¿Por qué en Europa, en las escuelas no enseñan, a los alumnos, TODOS, los impactos que tienen los paises del « primer mundo » sobre Sudamerica?

Dora tiene una contestación, la suya es: « la escuela representa lo que es un país. Somos colonias del Occidente. Lo que les interesa es el café, el cacao, el petroleo … « 

Gracias a los artisatas y a los demás que hacen acordarse a la gente de sus orígines, que les hace acordar que no hay que tener verguenza!

1 2