Ne pas subir, toujours agir ! On peut refaire le monde !

Ne pas subir, toujours agir

Ne pas subir, toujours agir

Le CRI est humain, l’horreur l’est aussi! Il lui arrive de douter, plus que nécessaire à la bonne irrigation de son esprit! L’individualisme régnant et son lot de comportements obscènes arrivent à le désespérer de toutes actions! C’est pour cela que le CRI entre, de temps en temps, en léthargie. C’est le grand silence sur l’écran! Comme un animal blessé, il s’isole pour rassembler ses forces. Alors qu’il a en stock une multitude d’articles à écrire et autant de problématiques à ouvrir. Désespérant! Nos congénères nous désespèrent! Constater cette toute puissance que s’octroie chacun alors qu’il n’est qu’un grain de poussière! Avancer à reculons sans repères en écrasant son voisins pour mieux faire son larcin! Tristes chemins. L’esprit des lumières a t-il quitté notre pays?…qui en fut l’inventeur ou le découvreur. Peu de polémiques mais de la « nique ta … » ou de la « nike ton… ». Y’a bon la bouillie! Banania! Et puis, ce moment de latence passé, à s’occuper les mains aux travaux de la terre et de la pierre (n’est-ce pas pierre Denis!), le CRI retrouve le jus, l’espoir naïf et enfantin que l’on peut changer le monde, même à quelques uns! Nos illustres et anonymes anciens l’on bien fait! Alors! Ne pas négocier avec la médiocrité mais lui opposer nos armes de guerriers pacifistes. Alors, l’expression, Agir et ne pas subir, redevient notre énergie. A l’image de quelques repères, tel le « Pierre du coup de gueule de 1956 » et en toute modestie, nous souhaitons continuer à apporter notre pierre à la construction d’un monde meilleur ou chacun devrait trouver sa place. N’est-ce pas JC! Et lire les bonnes paroles de notre Grand P(i)ère à nous, l’abbé pierre, cela nous calme et nous fait avancer très rapidement! Quelle économie de temps. Ecoutez : « la beauté d’une ville, la beauté d’une nation n’est pas dans ses jardins, ses théâtres, ses musées ni même dans ses cathédrales. Elle est de ne pas avoir de taudis. Elle est de ne pas avoir de désespérés.» Alors, à la lecture de ces paroles, on se dit que, si en toute honnêteté, nos armes sont le partage et la générosité rien ne peut nous arriver! Et avec un zeste d’humour à la Coluche dans notre approche de la réalité en rappelant en permanence sa fameuse citation « il y en a qui sont plus égaux que d’autres! ». Qu’est ce qui peut bien nous arriver! Alors!… C’est pas les bandes de malfêtards qui vont nous s’em…der!

Ne pas subir, agir en commun

Ne pas subir, agir en commun

Finalement, ce que l’on veut, C’est juste le bonheur! Pour nous, les nôtre et les autres. C’est tout ce que nous demandons. C’est simple! On ne demande pas la lune, pas même l’inaccessible étoile chantée par Jacques Brel! On veut de l’accessible. Du possible. Car pour nous, il n’y a pas de citoyens de 2ème catégorie, tout juste bons pour les miettes, à consommer du 2ème choix, des trucs en promo au delà de la date de péremption. Ce que l’on ne veut plus, c’est cette façon de dire « ce sera toujours assez bon pour eux ». « De cette société là, on en veut plus ». Le mépris, l’injustice, les combines, l’entre-soi derrière les hauts murs, les privilèges, toujours pour les même. Et pour les autres, pour le « peuples » : petit salaires, petits logements, petits boulots, petites pensions. Petites vies. De cette morale, actuelle, libérale-libertaire, qui vise à installer le pouvoir de l’argent et des riches, nous en voulons pas. De cette connivence, droite affairiste et gauche boboïste, nous n’en voulons pas!

Replaçons l’homme et l’humanisme au centre de la dynamique humaine!

Alors suite à vos encouragements, lecteurs du CRI, nous continuons encore plus fort et prenons notre bâton de pèlerins qui nous emmènera à nouveau sur les chemins de vos vies. N’hésiter pas, envoyer votre CRI et libérez vous en résistant avec le CRI.

Ne ratez pas le train, Prenez le bus !

Ne pas subir, agir ensemble

Ne pas subir, on peut refaire le monde

Et surtout se prescrire régulièrement le Cri du Posteur, sa prière de Sérénité :« Que la force nous soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l’être, mais aussi la sagesse de distinguer l’un de l’autre ».

Les clefs du voyage de Cathy et Thierry

les passeurs de rêves

les passeurs de rêves

Ces voyageurs, il faut les rencontrer car ils sont intarissables. Ils ont le sens du contes et relatent à l’infini les merveilles des hommes du monde. Sur leur chemin de la découverte des autres, ils ont ramené des multitudes de connaissances issues de leurs propres expériences. De véritables encyclopédies vivantes. Et des anecdotes chaleureuses qui font passer admirablement bien ce savoir. Ils rayonnent de vies, de senteurs, de saveurs, de couleurs et montrent souvent les choses dont ils parlent. Ils arrivent toujours avec une multitude d’objets, de produits, d’aliments, de tissus, de musiques,… de véritables nomades. Ambiance caravanes assurées. C’est l’invitation aux voyages. Dans une ambiance d’encens, au cours de cet après midi du 17 octobre 2010, ils ont présenté l’inde à travers le riz, les épices, le piment, les couleurs, la toile de juta, etc…Nous avons senti, goûté, vu, écouté et fûmes transportés ailleurs aux confins de nos rêves d’enfants. Merci à ces magiciens, ces passeurs de rêves, ces partageurs d’émotions. Regardez, écoutez!

(suite…)

La soupe des contes à Lésigny

N’hésitez pas à rejoindre ce groupe de doux rêveurs le 21 mars 2010 pour la deuxième en après-midi N’oubliez pas le droit d’entrée: un légume et un bol pour déguster les soupes à l’entracte. Et que vive la culture populaire rurale.

Les conteurs de la soirée

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Samedi 30 janvier de 7h à 10h du soir, c’était la première soirée contes autour d’une soupe à Lésigny. Dehors, il faisait bien froid à ne pas faire sortir un loup, même affamé, à l’intérieur de la salle du pré du four, il y avait une bonne chaleur humaine et surtout une bonne soupe odorante et mijotante!  La soupe! Le secret des grands mères! Toutes les chances de notre côté pour réussir une soirée contes à la sauce contemporaine. Enfants, jeunes, plus âgés et vieux étaient là pour broder  et tricoter des histoires, contes et légendes, d’un autre temps et d’ aujourd’hui. Et surtout venus pour se raconter des histoires! Et croire peut être qu’il faut continuer à douter, à s’interroger pour continuer le chemin de notre destin  d’être humain. C’est, peut être ça, la culture populaire rurale.

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En début de soirée, les enfants des ateliers de théâtre de Véronique Legangneux ont chauffé la salle en présentant deux scènes en cours de réalisations. Les rires du public déjà au rendez vous ! On imagine le spectacle de fin d’année. L’auditoire, mis en condition, était donc disponible pour se lancer dans l’ aventure de la soirée contes autour de la soupe. Le public devint acteur à son tour et fut à la hauteur. Engagement, écoute, convivialité et partage furent le ciment de ce moment passé ensemble. Créer une soirée avec rien mais avec la disponibilité de chacun, c’est pas si compliqué. L’aventure devrait se poursuivre en alimentant notre réflexion de tous ces regards d’enfants observés pendant cette soirée.

Dérives hygiénistes

Eau propre et Eau figurée

Eau propre et Eau figurée

C’est un ami à moi. Il n’aime pas que l’on boive dans sa bouteille. Une bouteille d’eau, une eau minérale, presque médicale. J’ai souvent peur de ce genre d’attitudes car elles me poussent à m’interroger sur les raisons de ce refus. Individualisme primitif ou sur-développé? Peur de la maladie venant de l’autre? Egoïsme européen? Mince ! Je ne suis pas encore allé en Afrique mais là-bas si je leur racontai cette anecdote, ils ne rigoleraient pas, les africains. Non, ou alors ils riraient pour ne pas devoir sombrer dans l’incompréhension. Et ils se diraient, quelle confiance règne entre les européens? Et après, ils me diraient que si nous ne nous voulons pas partager entre nous les ressources que l’on monopolise, eux ils sont prêts au partage, ils attendent…