Le directeur du Centre de Cri avait aperçu ce papier où il était question des africains à Lésigny, une association apparemment dont on ne comprenait pas trop le but ni l’objet, alors on est allé au Froux et on a rencontré Françoise, qui est vice-présidente de l’association Emmaüs à Châtellerault. Et autour d’un café, elle nous a raconté sa vie de périple et parfois de péril, ce n’est pas pour rien qu’elle et son mari sont des membres actifs de chez l’abbé Pierre.

C’est comme aux échecs ou aux dames, Toubabou c’est les blancs et Farafi les noirs. C’est simple donc, le projet de son association, comme bonjour, comme le petit enfant dans le destin duquel vous allez jouer votre argent, et il en faudra peu. A peine seize euros par an pour lui faire une scolarité. Dans le Burkina Faso profond, rural, la situation mérite un petit coup de main. Un mail de Françoise m’informe que le taux de scolarisation est très faible, pour les 6-12 ans, moins d’un enfant sur deux. Avec une situation pire à la campagne.

Vous cliquez ici et vous avez tous les renseignements pour participer au projet de l’association et de son école pour la scolarité des orphelins dans le village de Diébougou. L’association est composée entièrement de bénévoles. Vous pouvez laisser un message sur le livre d’or.