Les champs aux champs

Parmi les ménages, certains n’ont pas le moral. Mais alors vraiment pas le moral. Alors, ils emploient le physique. Le 16 octobre dernier, on a vu 50 jeunes agriculteurs sur les champs. Des agriculteurs sur les champs, rien que de très normal, direz-vous.

(suite…)

Yzeures-sur-Creuse La chasse à Courre en foire

Foire de la Chasse et des chasseurs, à Yzeures-sur-Creuse. Avec le clou, un cochon grillé, la Fanfare de l’Espérance de Dissay, vos serviteurs de la compagnie Globtrott pour faire le clown et animer la course cycliste et les allées d’exposants. Nous avons rencontré à cette occasion le scieur de bois Jacques Tararan, qui faisait des démonstrations de découpage de planches avec une énorme machine, du grand spectacle.

yzeures-creuse globtrott

(suite…)

Jean-François kahn de retour sur Marianne

Le vieux est de retour sur Marianne. Jean-François Kahn, le fondateur du magazine, a repris du service après avoir pris de la distance pour cause d’élections européennes. Mais pour la bonne santé des médias, c’est une bonne chose de voir ce défenseur du droit à l’information reprendre du service. Défense, oui, il y a une vraie vigilance à tenir et il n’en faut pas moins qu’un fondateur vieux, mais bien vivant pour animer les troupes. On sait bien que le pouvoir est une affaire de réseau et que c’est le problème de la république. Comment empêcher que le réseau devienne une mafia, celle du président de la république. C’est bien ce qui menace en ces temps de crise et de peur alimentée par des journaux qui ont besoin de vendre du tirage et de complaire à la présidence.

Jean-François Kahn et les excellents journaux

Alors Jean-François Kahn reprend du service pour faire paraître tous les samedis son bloc-notes sur le journal Marianne. Cette semaine, il nous rappelle, entre autre, que l’hebdomadaire Le Point, révèle que s’est déroulé à l’hôtel Bristol, un palace parisien bon chic, une partie arrosée de 400 personnes (dont très peu de SDF) , ayant versé à la campagne de Nicolas IV plus de 3000 euros. Rien de choquant sauf que l’hôte était Eric Woerth est aussi le ministre du budget de la République française. Il rappelle ensuite que ce même Eric Woerth est tombé récemment sur 3000 (le chiffre, décidément) fraudeurs du fisc, et que les délinquants ont été invités en catimini à négocier un arrangement d’ami. Et de conclure:

Ainsi le vol d’un stylo Bic chez Auchan: mise en examen! Des employés de chez Continental ont cassé le sous-verre d’une commode même pas Empire dans une sous-préfecture: cinq mois avec sursis. Mais 10 millions d’euros chouravés à la collectivité par un hors-la-loi, rien, bernique, une invitation au Bristol et un arrangement en douce dans un boudoir.

Et la presse? Motus, il ne faut pas fâcher Celui Qui A Le Bras Long. Les commentateurs des grands media sont resté éloquemment coi. Surtout les plus célèbres. L’inconnu est qui? Le connu, lui, est coi. Enfin, sauf Marianne, qui est un excellent journal.

La maison de paille

Un nouvel artisan est venu parmi nous.

La maison de paille est fabriquée par Florent à Lésigny. En venant de Barrou, sur le pont de la Creuse, on la voit. On peut la visiter, c’est ce qu’on a fait au mois d’août, il faisait chaud et ça tombe bien. Même si sa maison des trois petits cochons n’est pas terminée, s’il manque l’isolation du toit, les vitres et le revêtement, elle est fraîche et… solide. La paille, ça marche, vous pouvez toujours souffler.

Une maison de paille et bois en construction

Une maison de paille et bois en construction

Florent travaille pour une boîte dans les Deux-Sèvres et voudrait bien développer dans le coin son activité de bâtisseur en paille. Il a bien essayé à Chaumussay mais il dit que ce n’était pas trop possible là-bas, les autorités préférant garder le cachet patrimonial du bourg. Lésigny aussi, ça remonte à la préhistoire et ce n’est pas dit que dans la forêt, autrefois, on ne se servait pas des branches pour faire nos cabanes, ou des grottes pour mettre la viande. Alors va pour la maison de paille.

Pourvu que la maison fasse des petits et que l’activité de Florent prospère. Dans deux milles ans on parlera de cette époque merveilleuse où la paille à succédé au tuffeau et les lentilles au maïs. On datera à peu près de la même époque le moment où l’église est devenue une salle de concert et on conservera les traces de ce grand moment ou le ciel a prit le partie de la Terre. Et celui de la paille.

Le blog de Florent

Un blog relatant toutes les étapes de la construction.

Papillotes et capsules (un papillon dans un bocal épisode 2)

Deuxième épisode du palpitant polar de Pascal Dazin, Un Papillon dans un bocal, à suivre jusqu’au 11 novembre. C’est du côté de Belle Ile que nous entraîne cette fois l’aventure du Commissaire Dufilet.

Dès le soir, une cellule de crise se réunissait au commissariat. Un homme s’était suicidé, mais nulle trace du corps. Pourtant, tomber de plus de douze mètres sur le béton, cela ne pardonne pas. Qui était-il, d’ailleurs, ce Farfalle ? Un trafiquant, un sans papier, un agresseur d’enfants?

Molfort était reparti sur les lieux du drame, à la recherche d’indices. Quant au commissaire, après avoir essuyé les remontrances du procureur pour avoir laissé un homme sauter par la fenêtre, il avait enrôlé trois inspecteurs et donné ses consignes. Mais il avait l’esprit singulièrement troublé, comme jamais dans son passé de professionnel jusque là toujours bien noté. Un homme a un comportement suspect. Il se tue devant lui, mais pas de corps. Et de plus, s’il est maintenant certain, ne serait-ce qu’au regard de cette étrange disparition post-mortem, que l’individu a pas mal de choses à se reprocher, on ne sait pas du tout lesquelles.

Belle Ile

Belle Ile

(suite…)

Question pour une région. C’est gagné, c’est Royal!

Elles ont eu un sourire gentil aux lèvres, les filles de l’asso Marquetapage, quand je leur ai dit que j’avais rencontré Madame Marisol Touraine, députée du Sud Touraine et Vice-présidente de la région Centre, lors d’une visite courtoise à Chaumussay où je me trouvais aussi pour faire la prospection de la sortie de La T’ite tambouille de l’éco-logis. Soit, je n’ai pu lui offrir le livre, à elle! Nous ne l’avions pas encore cousu! Je lui ai donné un flyer annonçant l’évènement du 20 juin. Elle m’a dit qu’elle viendrait peut-être. Je pensai: un flyer s’envole, et puis c’est pas assez chic, pas officiel comme annonce pour une dame d’influence comme elle. Je me dois de lui envoyer une invitation. Mais au fait pourquoi l’inviter? Eh bien parce-que le siège de l’association Marquetapage, éditeur du livre est à La celle-Guenand, en Indre et Loire donc, il est de bon ton de soutenir les associations en venant aux manifestations, non pas pour se montrer mais pour être aux côtés de ceux qui ont voté pour un programme d’action culturelle et tout et tout. Rien que ça!

Eh bien Lisa, me disent-elles, avec le même sourire aux lèvres : « il ne te manque qu’à rencontrer Ségolène maintenant! »

Qu’à cela ne tienne!

Jean-Michel Denis, Président de La Compagnie Glob Trott et propriétaire de La Minoterie à Lésigny, (dans la Vienne donc), site d’accueil de notre association pour cet évènement, a envoyé une invitation aux acteurs (à ne pas confondre avec les comédiens!) de Sa région, à Madame Ségolène Royal…

Bon d’accord, elles ne sont venues ni l’une ni l’autre! Un 20 juin, veille du 21, lendemain du 19 où partout, il se passe toujours quelque chose, ou le climat, ou la conjoncture, ou?

Jusqu’au jour où…

Presque sitôt dit, presque sitôt fait, mesdames.

Jean-Michel et Véro étaient heureux de lui exposer de vive voix leur projet de reconnaissance du site en centre culturel. Un lieu où les associations comme celle que je représente sont reçues pour y travailler, pour élaborer des créations allant dans le sens du besoin de chacun, pour les autres. Un lieu où les gens peuvent venir pour s’y retrouver, découvrir ou revisiter des sensations dont la convivialité est le chef d’orchestre. Un lieu où les enfants peuvent s’épanouir à l’expression de leur créativité. Moi, j’étais satisfaite de lui offrir le livre de recettes écologiques de produits ménagers, que j’ai écrit avec Delphine Moreau Delattre et qui est illustré par Ananda Safo, ainsi qu’ 1/2 litre de lessive artisanale (une des recettes du livre) au savon de Marseille fabriquée à La Minoterie. Satisfaite aussi de lui expliquer comment la faire soi-même avec des ingrédients de choix, ne polluant pas notre santé ni notre environnement et plein d’autres petites astuces pour remplacer les produits classiques polluants.

Elle semblait satisfaite aussi.

– « Bon et bien! On va regarder les projets et puis on va vous accompagner » a t-elle conclu en s’adressant à Jean-Michel et Véro et s’en aller prendre quelques dernières photos, il en faut tout de même.

Les portes de La Minoterie à Lésigny sont toujours ouvertes pour tous, vous pouvez y venir. Marisol aussi bien sur! Il reste des livres et de la lessive! Des spectacles pour enfants à découvrir, des ateliers de papiers mâchés etc.

Un papillon dans un bocal – La métamorphose (1)

Pascal Dazin nous propose un petit polar en 17 chapitres, qui paraîtront tous les mercredi à 8 heures. Il se passe des choses étranges sur Belle Ile, le commissaire Robin Dufilet va se trouver confronté à une série de phénomènes inexplicables et flirter avec la folie. Jusqu’au bout, on ignore s’il trouvera le moyen de tenir le choc.

La métamorphose de Grégoire Samsa

La métamorphose de Grégoire Samsa

L’ homme venait de se lever quand on frappa à la porte. Cinq coups secs retentirent, alors qu’il aurait suffi d’actionner la sonnette, qui faisait entendre un son long et doux de corne de brume au soleil levant.

-Qui est là? S’enquit le locataire des lieux en enfilant avec volupté une chemise bariolée en soie.

-Police nationale. Ouvrez!

Un peu surpris, vaguement inquiet, l’homme ouvrit d’une main, terminant son boutonnage de l’autre.

-Que puis-je pour votre service?

-Commissaire Dufilet. Et voici mon adjoint le sergent Molfort. Nous avons reçu plusieurs plaintes à votre sujet de la part du voisinage.

-Des plaintes? Les voisins? Mais je ne suis presque jamais là, et je ne connais encore personne. Je ne sais même pas si les appartements attenants sont habités!

-Précisément, Monsieur… Monsieur?

-Farfalle. Antonio Farfalle.

(suite…)

Quito Equador Rostros de Barro y Plata

Asi se titulaba la exposicion del mes pasado en las Casas de las Artes, en la Ronda, en el centro historico de Quito (capital del Ecuador). Una exposicion que rescata varios rasgos de las diferentes cuturas de este paìs.

La Ronda, calle tradicional de Quito, vincula varias historias. Hacia parte del camino del Inca. Los primeros aristocratas se instalaron en esa calle. Despues la ocuparon los imigrantes internos (gente del campo). Actualmente la Ronda es un lugar de encuentro, ocupado por el arte. La Casa de las Artes presento del 29 de Mayo hasta el 21 Junio, la obra Rostros de Barro y Plata. Las artistas son Sara Palacios y Dora Quintero.

Ciudadana

Ciudadana

Sara Palacios originaria del Cuenca, modela el barro conservando sus colores y texturas, caracteristicas de todos sus trabajos. Para ella el barro no es la « hermana menor de la escultura », a menudo usada como molde para obras en metales. El barro es un material noble y persistente, encontrado atraves de los años. A menudo, los personajes de sus obras son mujeres, como en Rostros de Barro y Plata, pero igualmente en Mujeres-Casas-Casas-Mujeres, esculturas de mujeres con elementos de la architectura en la cabeza. La idea: ¿Como se sienten las mujeres en su hogar? Tambien Sara trabaja en Quitología, un proyecto que consiste en estudiar la ciudad de Quito, atraves de su architectura.
Dora Quintero, originaria de Esmeraldas practica la joyería hace doce años. Después de estudiar cinco años en un Instituto de Mujeres, decidió hacer sus propias joyas. A Dora no le gusta las joyerías comerciales, le gusta las que tienen caracter, que tienen una identidad. Su trabajo consiste en rescatar la parte sagrada y artistica de este arte. También estudió anthropología, el pensamiento Andino y su idioma originaria el Kuichua. Es la autora de unos libros La Venadita ( 2006 ), Los Espiritus del mas alla ( 1998 ).
Sara y Dora se encontraron en Cuba, en un encuentro artístico, con 20 artistas de nacionalidades diferentes, en el objectivo de intercambiar culturas, técnicas .. Con el consejo de la presidente de ese colectivo artístico (Cienfuegos) decidieron juntarse para crear esa obra.

Mujer del Monte

Mujer del Monte

Sara creo mujeres representando diferentes culturas presente en Ecuador. Este pais tiene una gran variedad cultural. El artista represento las que eran mas vinculadas en su memoria infantil.
Encontramos La Mujer del Mira (rio que pasa en la región del Chauta). Una cultura llena de ritmos, cantos, cuentos, juegos….
Descubrimos La Mujer del Monte (de los Andes), cultura ancestral de las alturas, del frío, de los mitos.
Encontramos Amazonico, (Mujer del Amazonia Ecuadoriana) que nos cuenta los vuelos del ayaguasca, bebida tomada en los rituales. Un viaje por a dentro. Lo que expliqua su ojo izquierdo, agujereado, una vista por a dentro.
También encontramos La Mulata, una mezcla de cultura Indígena y Negra, en lo caso de esa escultura, pero tambien de origines colonial y de aqui …

La mulata y la amazonica

La mulata y la amazonica

Y las Ciudadanas que representan las influencias de las culturas de afuera, que poco a poco forman una nueva forma de ser, de vestirse …

Esas esculturas por sus rasgos, sus posiciones, sus miradas que nos siguen tienen una identidad, un caracter, una personalidad propia a cada una. Sara escribió encima de las paredes blancas de la Casa de las Artes:  » ¿Qué dice el cuerpo que está detrás del ornamento? » Tenia miedo que las joyas occulten las mujeres, por que la humanidad es acostumbrada a esconderse atrás de ornamentos. ¿La gente hiba a entender que esas joyas eran lejos de ser simples adornos?

Ciertas alfabreria conservan los rasgos culturales, más aùn las de Dora Quintero.

Le gustaria que viendo sus obras, la gente se de cuenta que partenecen a la cultura Ecuadoriana, o por lo manos a America Latina.

Femme d'Amazonie avec le Spontylus

Femme d'Amazonie avec le Spontylus

Dora trabaja con muchos símbolos, unos de los materiales que usa más es el Spondylus, que ocupa un papel importante en la historia de la cultura Ecuadoriana. El Spondylus es una concha de colores caliente. Se encuentra, solamente, en la costa de Ecuador y al norte de Perú. Los Indígenas que observaban el tiempo, se dieron cuenta que antes que lloviera podían encontrar Spondylus en las playas. Asi supieron cuando podian sembrar. Lo relacionaron con la fertilidad. Más tarde lo trocaron, lo hacían por piedras preciosas, como las Esmeraldas. Los hombres, los más importantes, se llevaban grandes Spondylus hasta su tumba. Desde hace 2 mil años, los Peruanos se llevan el Spondylus y se los desvuelven, al Ecuador, tallado en flores o otras formas. Esa concha hizo que los pueblos de la costa Ecuadoriana pudieron desarollarse, por su comercio y su caracter especial. Ahora esta en peligro de extincion, porque no hay realmente protección ambiantal.

El metal que Dora usa más es la plata, que en la cultura Andina representa la luna y la feminidad.

Como símbolo importante encontramos El Jaguar, que simbolisa la rencarnación del Sol.

L'ofrenda ritual

L'ofrenda ritual

La pieza Ofrenda Ritual detiene la representación de diferentes elementos importantes en la cultura ancestral, presentes en todos los rituales : la oja de Coca, la Valdivia y el Spondylus.

Hablamos del Hombre Americano 1. Diferentes personas Europeas, influenciadas por la religion católica (que se impusó a todo America Latina), creyeron que ese símbolo era una cruz y que el Hombre Americano estaba crucificado o encerrado. ¡Nada que ver! Ese símbolo es una Chacana, es una estrella, el hombre ni está crucificado, ni encerrado, sensillamente, está adornado. La Chacana representa sus pensamientos hasia el cosmos.

Ciudadana

Ciudadana

Los aretes Colonial representan una nueva época, con nuevas modas, nuevos dibujos, que no existian antes la llegada de los colones. Obiamente también, nuevas mujeres, que hicieron perder su « poder » a las mujeres Indígenas.

El trabajo de Dora no es solamente, en esa busqueda simbolica, es igualmente un trabajo artístico. Esta actualmente trabajando nuevas tecnicas, como la busqueda de la luz en la alfebreria. Por ejemplo en la pieza Buscando la Luz, donde inserta topazios en el coral negro.

Buscando a luz

Buscando a luz

Esas dos artistas supieron hacer fusionar dos artes muy diferentes. Los materiales utilizados se volvieron nobles. Esa obra deja bellos mensajes.

Muchas personas olvidan sus origines, hasta darles verguenza. La cultura de cada uno debe poder expresarse, estar reconocida por su propia « belleza ». Las culturas no pueden camuflarse atrás del modelo occidental. La cultura es también la historia. ¿Cuánta gente, cuántos jovenes no conocen la historia de sus origines? ¿ Cuántos ni se interesan? ¿Qué hace la educación? ¿Por qué en Ecuador, la segunda lengua oficial no es el Kuichua? ¿Por que no enseñan a los niños, lo que es el Spondylus por ejemplo? ¿Por qué en Europa, en las escuelas no enseñan, a los alumnos, TODOS, los impactos que tienen los paises del « primer mundo » sobre Sudamerica?

Dora tiene una contestación, la suya es: « la escuela representa lo que es un país. Somos colonias del Occidente. Lo que les interesa es el café, el cacao, el petroleo … « 

Gracias a los artisatas y a los demás que hacen acordarse a la gente de sus orígines, que les hace acordar que no hay que tener verguenza!

Quito Equateur Visages de Terre et d’Argent

Ainsi s’intitulait la dernière exposition, dans la Maison des Arts, à la Ronda (centre historique), à Quito (capital d’Équateur). Une exposition qui récupère certains traits des différentes cultures de ce pays. Elsa Gire poursuit son voyage en Amérique latine et nous parle des artistes Sara Palacios et Dora Quintero.

Article en espagnol

La Ronda, rue traditionnelle de Quito, abrite de nombreuses histoires. Elle faisait partie du chemin de l’Inca. Les premiers aristocrates s’y installèrent. Puis les immigrants internes (ruraux) l’occupèrent. Actuellement, elle est un lieu de rencontres, occupé par l’art.

Femme citadine

Femme citadine

La Maison des Arts présentait du 19 Mai au 21 Juin l’oeuvre Rostros de Barro y Plata, dont les artistes sont Sara Palacios et Dora Quintero.
(suite…)

Véro joue Mademoiselle Miro à Abilly

C’était le 6 juin lors du festival des Rigolades, c’était un régal pour les enfants et les parents de découvrir et s’enrichir d’un tableau talentueux aux couleurs des « légumineuses » d’Arcimboldo » vues par Mademoiselle Miro: Mademoiselle Miro, interprétée par Véro de la Cie Glotrott, a amené du soleil à chacun malgré un temps maussade. C’était pour la compagnie l’expression d’un travail d’une année d’atelier mené à Abilly et qui devrait continuer à la minoterie de Lésigny.

1 2 3 6