Le funambule est dans le décor et renoncera plus tard à défier les éléments. Il pleut sur l’éco-festival, ça remballe, le samedi est juste à flots, le dimanche ensoleillé de quelques rayons, ça nous suffit. Nous avions entendu répéter que la terre manquait d’eau, qu’il n’avait pas assez plu. Voilà, il pleut. Philippe Samson l’organisateur de cette première édition garde le moral entre deux eaux.

Toute cette eau qui étanchait la soif de Gaïa ne pouvait que nous réjouir globalement au fond. Certes, sur la belle pelouse de la Distillerie il y avait des zones boueuses. La Gartempe était grosse et l’ambiance légèrement venteuse invitait à méditer avec les grands arbres du parc. Qu’à cela ne tienne, on marchait le long des stands sur de la paille ou dans les zones sèches.

De toute façon les gens aiment ça, l’avenir de nos enfants, ils sont venus. Le directeur du Centre de Cri a communiqué comme d’habitude, c’est une de ses spécialités, et il a interrogé des acteurs de la vie économique et écologique. Nous les présenterons à nos lecteurs dans les jours qui viennent, un par un bien sûr, on ne peut pas tout faire d’un coup et l’actualité n’attend pas, elle. Par exemple, la rencontre exceptionnelle de la célébrissime Valdi, sur le site, qui nous donne ses impressions personnelles sur l’éco-festival. Regardez les vidéos et prenez plaisir à venir nous retrouver chaque jour à la Minoterie ou dans les aires numériques…

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